Un nain franchouiard, au premier abords, apostropha les deux jeunes gens.
- Hep, messires, joignez vous donc à ma promenade.
Bien habillé, il se fondait pourtant dans la masse, rien ne le distinguait du reste du peuple ci ce n'est sa démarche assurée et ses yeux vifs, comme si chaque chose qu'il regardait se trouvait sous sa responsabilité.
- Vous êtes nouveau à ce que je vois, et certainement pas des gens du petit peuple. Que venez vous dont faire par ici ?!