Histoire de Taurun Fendvague.

Oration Seis Nombre de messages : 86 Date d'inscription : 05/10/2005

L’histoire commence par un nom, Fendvague. Une famille de nain vivait dans la montagne, passant son temps à creuser à la recherche de précieux mithril. Le patriarche, un homme pieux pensait que les nom destinait les êtres. Il ne savait d’ou il tenait celui de sa famille, mais croyais dur comme fer que la mer leur était destinée. Il réunit donc les siens, et par un matin pluvieux ils partirent sur les routes, en direction de la plaine bleu. Il y arrivèrent après des mois de voyage. La, les nains coupèrent les arbres alentours, et construisirent un immense navire, un navire assez grand pour accueillir plus de 200 nains, la famille Fendvague n’en comptait qu’une cinquantaine, mais qu’importe, prévoir était le domaine du patriarche et il fut fait comme il le demandait.
Les nains se lancèrent donc à l’assaut des vagues, fendant celles qui leurs résistaient, naviguant au gré des vents. Il finirent par arriver en vue d’un village, la un homme leur proposa de l’argent contre le transport d’un troupeau de bœuf, les nains qui voyaient leurs réserves de pierres précieuses diminuer acceptèrent, ainsi débuta leur destin de commerçant. Bien des années plus tard, une femme accoucha, d’un petit nain des plus normal, peut être légèrement plus vigoureux que les autres, mais pour qu’elle mère son enfant n’est il pas mieux que celui des autres ?! Il fut nommé, Taurun, Taurun Fendvague. Et il était promis à un destin peu commun. Le jeune nain passa son enfance sur le navire, apprenant tout du métier de marin. Les pirates étant chose commune sur la grande bleu, les nains apprenaient des leur plus jeune age à forger et à utiliser leur hache, Taurun fit la sienne haute et lourde, car il était déjà d’une taille étrangement haute pour un nain, et sa force prévoyait de devenir exceptionnelle, même pour un nain. Faisant fit de ceux qui prétendaient qu’un grand corps apportait un petit esprit, Taurun apprit à se battre, et il sut tirer partit de sa taille et de sa force. Arrivé à ses 37 printemps, il commença à trouver la vie de la mer monotone, il fit donc ses adieux à sa mère, à son père, ainsi qu’a ses nombreux frères et sœurs, amis tantes, cousines et autres connaissances. Il monta dans l’une des nombreuses barques du navire, s’élança sur les vagues, et après quelques heures de mer débarqua sur une plage devant un village. Là, il revendit la barque, s’acheta quelques vivres et une carte, puis partit à l’aventure. Il marcha de nombreux jours, combattit de rares fois, et arriva enfin en vue d’une cité, des plus belles, elle semblait promettre de nombreuses aventures, ainsi que gloire et fortune. Le nain s’élança à sa rencontre. Il passa un jour entier à la parcourir, découvrant des merveilles jusque la inconnues à ses yeux, des armures brillant de mille feux, des colliers finement taillés, de la bière au goût divin, des vêtement étranges mais non moins magnifique. Alors que Taurun passait devant une étale de friandises, un grand homme tout d’or habillé le bouscula, le nain les yeux fixés sur les délicieuses friandises se tenait au milieu du passage. L’humain ne sembla pas lui tenir grief de son manque d’attention, mais par précaution, le nain s’excusa de toutes les façon qu’il lui était connue. Semblant s’amuser de ses manières, l’humain lui offrit la friandise tant désiré, et lui proposa de l’accompagner. Il le mena au plus haut de la cité, dans les plus beaux palais, de marbre, d’or et d’argent. Tous s’inclinait au passage de l’homme, visiblement un haut personnage. Arrivé dans ses appartement, il servit un chope de bière au nain, puis il lui posa quelques questions, si il avait de la famille dans le coin, si il était formé aux métiers d’armes, etc. Finalement, l’homme lui proposa de travailler pour lui, il apprendrait à se battre mieux que quiconque, à diriger des troupes, à s’infiltrer dans une maison, et bien d’autres choses, toutes plus étranges les unes que les autres. Taurun à la recherche d’aventure ne put qu’accepter, ainsi commença sa formation d’espion et de général. La cité ou il se trouvait se nommais Elyhrnn, et l’homme n’était autre qu’Aractus, empereur Othonin.

Nombre de messages : 239 Date d'inscription : 22/02/2006

Le jeune Taurun pleurait, dans sa cache secret, derrière les murs de la chambre de son seigneur, il pleurait toutes les larmes de son corps. Son seigneur était mort, et il n'avais rien pus faire pour le sauver. Alors qu'ils étaient partit en mission pour la cité école d'Ilia Feon, ils s'étaient fait attaquer par un groupe armée, sans armoiries, sans rien qui puisse indiquer qui pouvait être le commanditaire de cette attaque. A dix contre deux ils n'avaient eut aucune chance, bien entraînés les attaquants avaient quand même perdu plus 6 des leurs avant que, blessé à la jambe et au bras Aractus ait ordonné au nain de s'enfuir. Taurun n'avait pus qu'obéir. Il avais couru dans la foret sans regarder ou il allait, il avait fini par s'assommer contre une branche basse, et au matin il s'était réveillé une bosse sur la tête. Honteux de son attitude et inquiet pour son maître, il était repartit en courant dans l'autre sens, mais à son arrivé il ne restait plus rien, à part une zone d'herbe piétiné et un grande tache de sang. Son seigneur ne pouvait qu'être mort, le lien magique qu'ils avaient passés des heures à consolider dans la chambre d'Aractus n'était plus, ce lien qui les unissaient, leurs permettaient de savoir quand l'autre était en danger, Taurun ne le ressentait plus, un grand vide lui avait fait place. Le nain repartit donc vers Ilia Feon, là il fit ce qu'il devait faire, le réseau d'espion Othonin avait prévenu Aractus qu'un homme espionnait pour le compte d'un autre empire, cet homme était un maître dans l'école d'Ilia feon. Arrivé la bas, Taurun trouva l'homme en question, le menaça des pires sanctions si il ne transmettait pas ce que les Othonins voulaient, puis cette tache accomplie, il rentra. Il se trouvait à présent en larme, ne sachant que faire, l'envie de retrouver sa mère plus que présente. Son maître était mort, et il ne pouvait l'annoncer sans crainte.Et Le seigneur Furdann était partit, le seul homme qui le connaissait.

Une servante entra, il se tut du mieux qu'il put, étouffant sous un oreiller ses sanglots, les murs étaient épais, mais pas assez pour couvrire tout les bruis. La servante partit, il sécha ses larmes et commença à rédiger une missive.

Citation :: Seigneurs, le Seigneur Aractus n'est plus. Il est mort victime d'une embuscade. Ses volontés étaient que vous continuiez à diriger l'empire, que vous le portiez à la gloire dont rêvait pour lui Aractus et Furdann. Le moment venu, son héritier viendra prendre la relève, attendez le. Ne cherchez pas à savoir qui je suis, sachez qu’il m’accordait toute sa confiance.

Taurun ne doutait pas qu’on ne le crut pas, mais il ne pouvait rien faire d’autres, Le seigneur Aractus lui avait maintes fois parlé de cet héritier et Taurun ne doutait pas qu'il arrive bientôt. En attendant, il ne lui restait plus qu'a rejoindre les forces armées, et à pratiquer son métier Officiel, commandant d'une section armée Othine.

Oration Seis Nombre de messages : 369 Date d'inscription : 05/10/2005

Le Seigneur Furdann avait était avertit qu'une embuscade contre l'Empereur Aractus allait avoir lieu, mais ne disposant pas de force armée, et n'ayant eu le temps de prévenir quelqu'un, Le Seigneur avait périr.
Furdann était bien triste, son meilleur amis n'était plus, est étant loin de l'Empire, personne ne gouvernait plus.
Seulement, Furdann avait recu une missive d'Aractus peut avant l'embuscade, celui ci présenter sa mort proche et lui avait donner le nom de celui qui lui succederai sur le trone de l'Empire.

Mais Furdann avait fort a faire dans sa cité, aussi prépara t'il son voyage avec patience, et pour l'instant envoya simplement une missive a tout les Seigneur de l'Empire.

Citation :: Notre Empereur est mort, comme vous le savez, et je ne peut malheureusement vous rejoindre pour l'instant, vous devrez donc gouverner jusqu'a ce que le succeseur soit nommer, je le nommerai moi même, sur les dernière volonté d'Aractus, une fois de retour dans l'Empire.

Intendant Nombre de messages : 105 Date d'inscription : 19/10/2005

Géant Vert, attristé par cette nouvelle, alla l'annoncer aux autres membres de la Vallé d'Elendor, sachant que cette nouvelle allait donner un grand froid dans le dos de tous les seigneurs. aractus est un empereur certe, mais aussi un ami, et cette nouvelle accablera tout le monde. Chacun fera face comme il peut, mais le nom d'Aractus restera gravé dans le coeur de chacun...

Habitant d'Elendor Nombre de messages : 176 Date d'inscription : 13/12/2005

Un messager parcourut les plaines enneigées jusqu'au domaine d'Ilùvatar.
Ce dernier recut courtoisement son hote, comme à son habitude avec le vin chaud rituel.

Il regarda l'enveloppe, cachetée par le seigneur Furdann.
Ainsi, le maitre Othonin avait survécu comme certaines nouvelles le prétendait. Ilùvatar ressenti un grand soulagement à cette idée, et se demanda la raison pour laquelle son chef quittait son exil en envoyant cette lettre.

Il prit une dague, fit sauter le cachet et lu le parchemin.

Là, il recut un coup sur la tête. Ainsi, l'empereur était tombé, et l'homme avec.

L'escarmouche a tué celui qui m'a accueilli à Avalon, et que j'ai rejoint plus tard dans les contrées Othines.

Ilùvatar compris la raison pour laquelle le messager avait une mine sombre.

Après s'être servi un verre de vin chaud, il regarda le coursier, et un détail lui avait échappé, perturbé qu'il était par les nouvelles. Il s'agissait d'un nain. Depuis quand Furdann faisait il envoyer des messages par quequ'un en qui il n'aurait pas confiance.

Ilùvatar inspira lentement, et demanda au jeune nain de raconter comment Furdann va et ce qu'il en est pour son chef.

Le nain demanda une nouvelle coupe de vin et accepta de raconter l'histoire de son nouveau seigneur.

Mortamus se sentait tres mal. Son empereur, celui avec qui il avait fait ses armes etait mort. Et le pire, c'est qu'il s'en pensait en partie responsable. Aractus venait le voir, a Ilia Feon, cette citee ecole dont l'empereur lui meme lui avait confié la responsabilité. Et il n'avait pu assurer sa protection. Il en ressentait une grande honte et avait un gout amere au fond de la bouche. Il ne tenait plus en place mais ne voulait voir personne. Souvent on le voyait,partir seul dans la foret, comme un fantome. Nombre de ses gens pensaient qu'il voulait rattrapper sa faute en se faisant tuer de la meme maniere.Mais chaque fois le Seigneur Mortamus revenait, ne racontant jamais ce qu'il avait fait.
Puis un jour, alors que sa culpabilité etait au plus haut, il prit sa decision: il allait partir pour un pelerinage afin de racheter cette faute horrible a ses yeux. Puis lentement, methodiquement, il se prepara a ce voyage.

La tempête de sable était de plus en plus puissantes dans le petit village nain de suna no kuni dirigé par le kazekage (maître du village) Gaara. Une ancienne croyance disait que lorsque la tempête se fesait puissante le malheur n'était pas loin.

Dans la soiré un homme arriva disant etre porteur d'un message venant de furdann. Le seigneur Gaara fut réjouis car il croyait son ami furdann mort pour l'Empire dans la guerre qui les avaient opposé au batard de luféa. Mais quelle ne fut pas sa déception quand il lut le message.

-L'empreur mort! dit il. Cela est une grande tragedie pour l'empire!

Puis il se tournas vers son jeune est bien aimé assistant et lui dit

-Rassembler vite nos meilleur artisant et artiste et qu'un monument d'une bauté incomparable dans le monde des nains soit édifier en l'honneur de ce grand guerrier et Empreur qu'était le seigneur Aractus.

Dès les préparatifs de la construction finis. Le seigneur Gaara se retira dans ses appartement pour médité et prié pour que le repos éternel d'Aractus ne soit pas pertubé.

Le lendemain le monument etait fini et les nains qui l'avait fabriqué furent remercier par des coffres de fines pierreries. La place des hache où le monument fut édifié fut rebatisé la place d'aractus et touts les nain du pays du vent se souvenait de lui comme d'un grand Maitre!

Grand Diplomate Nombre de messages : 175 Date d'inscription : 13/02/2006

Wilderion avait appris la nouvelle comme chaque habitant de l'empire othonin et comme eux, il ne pouvait que s'en attrister. Bien que n'ayant que peut connu Aractus de son vivant, il connaissait sa légendaire sagesse.

Pourtant l'heure n'etait pas à la lamentation et il fallait se remettre au travail pour la beauté et la properité de l'Empire othonin sans empereur : seul cette reussite serait un présent digne a présenter au feu Aractus.

Wilderion pensif, decida de forger une légende qui saurait rendre grâce à la mort d'un l'empereur que tout le monde regreterait. Il se mit donc en quête de toutes les histoires circulant sur sa mort afin de donner de la consistance à la future légende.

De nombreuses légendes se forgent après la mort des personnes pouvant les contredire.

Nombre de messages : 239 Date d'inscription : 22/02/2006

Taurun dans son malheur ne pouvait que se réjouir, les Contrées étaient en train de faire de son maître un héros, un homme digne des habitants de cet empire peu commun. Les histoires devenaient extravagantes, les batailles gigantesques. Au milieu de ce chaos seul les proches d'Aractus restaient réalistes, conscients de la vérité. Taurun continuait à agir, dans son coin il réunissait ses espions, ses hommes de mains, les nombreux contacts qu'Aractus avait réunis autour de lui, pour pouvoir mener d'une main sur l'empire. Quelques missives avaient étés envoyés à Furdann, pour le maintenir au courant, mais le contact restait mince, et le nain se sentait seul malgré l'agitation autour de lui. Parmi ses compagnons d'armes, aucuns ne connaissait son autre vie. Mais le temps viendrait où il pourrait agir à découvert pour l'empire. En attendant, il découvrait de nouveaux seigneurs, tous plus dignes les uns que les autres des contrées Othines. Les génération futurs promettaient.

Prêtre Nombre de messages : 106 Date d'inscription : 19/11/2005

Le temps était frais ce matin-là; les oiseaux commençaient à se manifester et Yasha, comme d'habitude, aimait se promener juste à l'aube, pieds nus, dans les sous-bois qu'il affectionnait tant, et sentir le soleil inonder de sa pleine clarté les champs et forêts environnant.
Voir les écureuils gambader de branches en branches, renouer le contact avec les nymphes, saluer les ondins partant à la chasse aux chevaux aquatiques, admirer les perles de rosée qui scintillent tel un lit de joyaux...
Oui, de pareilles journées sont rares et pourtant si merveilleuses...
Ainsi se permettait-il d'abandonner ses gens durant une petite heure, le temps de puiser l'énergie autour de lui et de communier avec l'esprit de la Terre-Mère; de sentir l'harmonie vibrer autour de lui.

Un nuage passe; une branche qui craque; les oiseaux qui deviennent muets; une brise glaciale qui fait frissonner chaque centimètre carré de peau...

Les sens elfiques en alerte, le seigneur albinos scruta son environnement: sa vue ne lui fourni aucune information, son odorat non plus, son ouïe lui apprit que quelques cavaliers s'éloignaient au loin de sa cité. Mais ces sens là n'étaient rien en comparaison de ce qui lui soufflait son instinct.
Eilistraée lui parlait dans son coeur; et cela le glaçait d'effroi: une chose improbable venait de se produire, mais il n'en savait pas plus.

Sans plus attendre, Yasha courut rejoindre les siens, utilisant toute sa force, sa vitesse et son agilité. Il sautait par dessus buissons épineux et fossés, il courait sur la terre, le sable, l'eau et la roche; les arbres écartaient leurs branches de son passage, la nature l'aidait dans sa folle et désespérée course jusqu'à arriver aux portes de Grin'jalek... où un étendard noir se profilait sur le mât de la place publique, qui dominait à plusieurs lieues à la ronde.

-"Qui....." ne put s'empécher de dire l'elfe qui se remit à courir comme un forcené.

Arrivé sur la place, tel un mendiant, les vètements déchirés, les pieds ensanglantés, les gens s'écartèrent toutefois de lui, reconnaissant leur monarque. Son teint était dur, le visage de marbre quand Raven, son général et ami d'enfance vient le voir.

-"Yash', je suis désolé ...."

-"Qui est mort ?" coupa Yasha

-"La nouvelle vient de nous parvenir d'Elyhrnn ... Aractus est tombé dans une embuscade lors de son trajet vers Ilia Feön, tout ce que nous savons est qu'une personne anonyme a contacté les chefs othonins" déclara d'une seule tirade Raven

-"... C'est impossible! Cela ne se peut!..." murmura le seigneur

-"Et pourtant c'est bien vrai, le sceau a été authentifié et d'autres seigneurs ont confirmé la nouvelle ..." dit le général

-"QUI A FAIT CA? Il va le payer ...." ragea Yasha, les yeux injectés de sang

-"Nul ne le sait... Que faisons-nous à présent?" s'enquit son ami

Yasha restait tétanisé par la nouvelle; plus un bruit, personne n'osait bouger ou respirer dans cette attente. Les secondes s'écoulèrent, et quand Raven voulut dire quelque chose, Yasha rompit le silence d'une voix neutre, étouffée.

-"Tu prends le commandement conjointement avec l'Intendant; je pars durant une septaine, tu as accès à mon bureau et mes archives, tout y consigné."

-"Prends soin de toi..." murmura Raven

Yasha partit calmement hors de la ville nomade, loin, où l'on ne pourrait le trouver sauf si celui-ci le désirait. Sur son passage, hommes et femmes s'inclinaient respectueusement, non par crainte, mais par amour et compassion. Le visage de leur Maître est alors fermé, implacable, ses yeux rouges de colère laissaient la palce à l'amertume et à la tristesse.
Il pleurait.
Il partit durant sept jours pour méditer, pour faire son deuil, pour prier sa déesse de guider le seigneur défunt sur les chemins de l'après-vie, et nul ne le retenait.
Yasha pleurait.
Yasha pleurait sur celui qui l'avait guidé et aidé.
Yasha pleurait son Maître et son ami...

Aractus

Admin: je me suis permis une toute petite modification, car le nom de Taurun est à peine connu, et personne ne connait sa participation dans cette affaire. A part ça, la déesse airpé sera contente de cette prouesse.

Edit : merci de cette modif et j'ai aussi rectifié les fautes qui sont passées entre les mailles du filet.

Apres 2 jours de preparations, Mortamus etait pret. Il allait partir se racheter dans quelques contrées lointaines durant un temps indeterminé. Il ne reviendrait dans sa citée que quand le poid de la culpabilité aurait disparu.
Ainsi, il prit son maigre bagage, quelques pieces d'or, ses deux épées, monta sur sa monture et parti vers l' horizon,loin des contrées connues.
Il allait racheter sa faute dans le sang